Ses lecteurs lui écrivaient. En voici quelques extraits :
Petite Encyclopédie occitane
« Votre encyclopédie occitane m’a appris beaucoup et, dans certains domaines, elle m’a montré la justesse de pensées qui me venaient confusément à l’esprit. En la lisant, j’ai éprouvé les joies du cœur et de l’esprit que l’on ressent en retrouvant des souvenirs de jeunesse ou en recevant des nouvelles d’amis depuis longtemps partis. »
(1973 – Conseiller à la Cour d’Appel de Montpellier).
« J’ai acheté récemment la dernière édition de la Petite Encyclopédie occitane, version bien améliorée et superbe. Tu auras fait un travail admirable de la plus grande utilité. Ce sont des ouvrages qui devraient figurer dans toutes les bibliothèques. »
(1998 – André Lagarde).
Histoire chronologique de la civilisation occitane.
« Encore une fois, il n’y a pas que les universitaires pour réussir de l’excellent travail. Encore une fois vous avez prouvé que la puissance intelligente et le sens poussé de l’organisation et de la documentation de A à Z et de la création volontaire peuvent conduire à des résultats solides. »
(1980 – J.-G. Gigot, Conservateur en chef honoraire des Archives départementales de l’Hérault).
« Originaire de l’Hérault, égarée en Seine et Marne, je me passionne pour tout ce qui me rapproche du Languedoc, passé ou présent. Ma lettre peut se résumer en une phrase : Merci Monsieur Dupuy de me permettre de retrouver à travers vos livres, mon Midi qui souvent me manque. C’est peut-être puéril, mais je voulais vous le dire. »
(1980 – Nadine Belluc).
« Le tome troisième de l’Histoire chronologique de la civilisation occitane m’est bien parvenu. Outre qu’il sous-tende perpétuellement une résonance affective, l’ensemble de ce travail reste inégalé, pour le « Midi », et lui procure des références sur un large répertoire. »
(1998 – Daniel Henry).
« J’ai bien reçu les trois tomes de l‘Histoire chronologique de la civilisation occitane. Ces ouvrages sont d’un grande richesse et procurent un plaisir évident à leur lecture. C’est un travail remarquable. »
(1998 – Serge Clos-Versailles).
La Lomagne
« J’y trouve toute la culture d’un peuple qui a une longue histoire sur une terre bénie des dieux, qui sait bâtir et respecter ce qui est beau. »
(1991 – Roland Vernli, professeur à l’Université de Genève).
» Trois fascicules sur la Lomagne viennent de me parvenir. Je vous présente mes remerciements les plus sincères et mes félicitations pour le sérieux de votre entreprise, son contenu, votre constance, et vos promesses remplies jusqu’au bout. J’imagine que cela n’a pas dû toujours être facile. Mais le résultat en vaut la peine. »
(2001 – Daniel Henry).
« J’admire votre travail et l’énormité des recherches qu’il a fallu effectuer pour arriver à un résultat aussi concis que précis. »
(2001 – Simone Gallene).
« J’accuse réception des fascicules. Déjà j’ai pu parcourir quelques pages de cette œuvre immense et je tiens à vous témoigner mon admiration pour tout ce travail, pour tant de détails et surtout pour tant d’amour pour ce petit pays. La Lomagne peut-être heureuse de vous compter parmi ses enfants. »
(1997 – Joan Labouchère, Pays-Bas).
« (Fasc. n°2) Les photos anciennes, les plans et les cartes rendent très agréable cette présentation inédite d’une région. Quant on dit en occitan (ici en gascon) les choses de la vie, de la foi ou de l’histoire, on a l’impression de tout réapprendre. Le fascicule n°3 devrait plaire à beaucoup car l’âme véritable d’un pays se traduit dans sa cuisine ! En parcourant les pages consacrées au mobilier, à la vaisselle, à l’habillement ou à l’alimentation, le Lomagnol que je suis revivait son enfance. Le tableau est si réussi et si juste que c’est vraiment dans ce fascicule que j’ai senti monter l’esprit gascon. »
(1991 – Georges Passerat).
Promenades en Lomagne
« Lorsque, à Beaumont, j’ai vu la photographie de couverture de « Promenades en Lomagne », j’ai bondi dessus et, depuis, de retour au Vénézuéla, je le déguste comme un magret éternel ! Je pense que des gens, comme vous, ont été essentiels dans la Renaissance occitane dont les fruits passeront, j’en suis persuadé, la promesse des fleurs. »
(1996 – Hervé Bernés, Caracas Vénézuéla).